SELECT *                            # Sélection des colonnes 

FROM table # Nom d'une ou plusieurs tables 

WHERE condition # Obtenir les résultats selon la condition 

GROUP BY expression # Grouper les tables en groupe 

HAVING condition # Condition sur un groupe

 { UNION | INTERSECT | EXCEPT } # Unir plusieurs requêtes

 ORDER BY expression # Trier les résultats 

LIMIT count # Limiter à N enregistrments 

OFFSET start # Débuter à partir N enregistrement 

SELECT * FROM table INNER JOIN table2 ON table.id = table2.id # Jointures de 2 tables SELECT LAST_INSERT_ID() as new # Retourner l'ID du dernier INSERT SELECT COUNT(*) FROM table # Retourner le nombre de lignes INSERT INTO table VALUES ('valeur 1', 'valeur 2', …) # Insérer un enregistrement UPDATE table SET nom_colonne_1 = 'nouvelle valeur' WHERE condition # Modifier un enregistrement DELETE FROM table WHERE condition # Supprimer un enregistrement 

Contrainte d'intégrité 

Dans une base de données, une contrainte d'intégrité permet de garantir la cohérence des données lors des mises à jour de la base. En effet, les données d'une base ne sont pas indépendantes, mais obéissant à des règles sémantiques, après chaque mise à jour, le SGBD contrôle qu'aucune contrainte d'intégrité n'est violée.

Sous Oracle, les clés primaires sont systématiquement accompagnées d'un index défini de la même manière. Il existe pour ce SGBD différents types d'index qui autorisent la conservation de l'intégrité de la table.

Exemple

Voici un ajout de contrainte en SQL reliant un ID à une clé étrangère :

alter table image_utilisateur add constraint image_utilisateur_utilisateur_fk

   foreign key (utilisateur_sid) references utilisateur(sid)


Contrainte d'intégrité Référentielle

Une contrainte d'intégrité référentielle interdira l'effacement d'un auteur, tant que dans la base de données il existera au moins un livre se référant à cet auteur. Cette contrainte interdira également d'ajouter un livre si l'auteur n'est pas préalablement inscrit dans la base de données. 

Transaction (informatique) 

En informatique, et particulièrement dans les bases de données, une transaction telle qu'une réservation, un achat ou un paiement est mise en œuvre via une suite d'opérations qui font passer la base de données d'un état A — antérieur à la transaction — à un état B postérieur1 et des mécanismes permettent d'obtenir que cette suite soit à la fois atomique, cohérente, isolée et durable (ACID).

La majorité des systèmes de gestion de base de données hiérarchiques comme relationnels du marché permettent de réaliser des transactions atomiques, cohérentes, isolées et durables. Les systèmes NoSQL n'y prétendent pas2.


Architecture ANSI/SPARC

L'architecture Ansi/Sparc est une architecture fondamentale sur laquelle reposent les SGBD modernes, elle fut proposée en 1975 par Charles Bachman qui reçut le prix Turing pour ses travaux. 


’architecture Ansi-Sparc est divisée en trois niveaux

The <span> tag is an inline container used to mark up a part of a text, or a part of a document. The <span> tag is easily styled by CSS or manipulated with JavaScript using the class or id attribute. The <span> tag is much like the <div> element, but <div> is a block-level element and <span> is an inline element. 

A lire pour les courageux synthétiques: -https://www.lebigdata.fr/base-de-donnees (je tâcherais d'en faire un résumé bientôt :) 

Modèle Relationnel

Le modèle relationnel est une manière de modéliser les relations existantes entre plusieurs informations, et de les ordonner entre elles. Cette modélisation qui repose sur des principes mathématiques mis en avant par E.F. Codd est souvent retranscrite physiquement (« implémentée ») dans une base de données. 

EA. Entité-Relations 

Le modèle entité-association (EA) (le terme « entité-relation » est une traduction erronée largement répandue), ou diagramme entité-association ou (en anglais « entity-relationship diagram », abrégé en ERD), est un modèle de données ou diagramme pour des descriptions de haut niveau de modèles conceptuels de données. Il a été conçu par Peter Chen dans les années 1970 afin de fournir une notation unifiée pour représenter les informations gérées par les systèmes de gestion de bases de données de l'époque. Il fournit une description graphique pour représenter des modèles de données sous la forme de diagrammes contenant des entités et des associations. De tels modèles sont utilisés dans les phases amont de conception des systèmes informatiques.

Ils sont utilisés, par exemple, pour décrire les besoins en information et/ou le type d'information qui doit être enregistré dans les bases de données pendant la phase d'élaboration du cahier des charges. La technique de modélisation des données peut être utilisée pour décrire toute ontologie (i.e. une vue globale et des classifications des termes utilisés et de leurs relations) dans un domaine d'intérêt.

Dans le cas de la conception par la méthode Merise d'un système d'information construit sur une base de données, le modèle conceptuel de données est, à un stade ultérieur, transformé en modèle logique de données, tel que le modèle relationnel ; puis ce modèle est transformé en modèle physique pendant la phase de conception physique. Quelquefois, ces deux dernières phases sont appelées "conception physique".

Cette méthode est employée depuis les années 1970 pour concevoir les bases de données informatiques.